.*´¨ )
¸.•´¸.•´¨) ¸.•*¨)
(¸.•´ (¸.•´ .•´ : (´¸.•*´¯`*•-->>>> la minute instruisante 

quelle est la différence entre une bruschetta, un crostone et un crostino? hahaha bonne question n'est ce pas? 

la bruschetta [-sk] est généralement la plus grande. c'est idéalement une tranche pain de campagne, habituellement recouverte de sauce tomate après avoir été légèrement grillée et frottée à l'ail, même si les recettes saisonnières traditionnelles varient beaucoup d'une région à l'autre.

le crostino, que tout le monde appelle crostini, à tort car c'est un pluriel - bon d'accord, on en sert généralement plusieurs-  c'est un "croûton", mais pas pour mettre dans la soupe. c'est une tranche de baguette, ou de pain blanc, assez grillé pour croustiller (c'est la même étymologie), sur lequel on met des petits amuse-bouches variés.

un crostone, beh c'est un gros crostino (le suffixe -one en italien ajoute à un nom la notion de "gros", mais aussi parfois c'est un peu péjoratif.)

vous voilà drôlement plus instruits n'est ce pas?

bon passons aux choses sérieuses.
trouvez vous une bonne mozzarella végé qui fond.
un simili-chèvre ça le fait carrément aussi, voire plus sans doute, si vous en connaissez un bien.
pour ma part, j'ai des vues sur le tartex (vegeese), vu comment leur "regular" est génialissime (encore un suffixe italien, superlatif et mélioratif, cette fois)
je vous tiens au courant 

ingrédients

- tranches de baguette
- figues mûres, vertes ou violettes ♥
- fromage végé de votre choix
- romarin

préparation

griller légèrement les crostini au grille-pain ou au four, mais la traditzione admet aussi le passage à la poele avé de l'huile d'olive estra-vierge (oui je suis du Sud Ouest, comment vous avez deviné?)

poser le fromage dessus, et faire gratiner au four.

déposer ensuite une ou deux tranches de figue, et un brin de romarin.
servir chaud. 

quoi de mieux que de passer son anniversaire en forêt? loin des gens, du bruit, de la chaleur, des masques, des files d'attente, du wifi...
pour moi, rien.
c'est donc sans résistance que je me suis laissée amener dans une forêt "vieillissante" de l'Ariège (hello Helo) pour un pique-nique et une balade féérique.

vous reconnaîtrez du hoummous (fait maison of course) et des gressins (faits en Italie of course), une salade roquette-pignons- tomate - noisette- amande, et un no- cheese cake, vanille -glaçage "gelée au sirop de fraise" (c'est nouveau!)
il y avait plein d'autre manger mais j'ai oublié de le photographier, parce que j'étais un peu subjuguée par la beauté de l'endroit. 

comme je l'ai expliqué dans un précédent post, je ne donne plus les lieux précis où je vais pour ne pas encourager le tourisme instagram (&co) et  ne pas contribuer à la "glamourisation" d'un site naturel soudain envahi de touristes.

trouvez vous-même les lieux où vous avez vraiment envie d'aller 

le truc bien avec moi, c'est que la plupart des situations anodines de la vie de tous les jours me font penser à des blagues. 
le truc moins bien, c'est que la pauvre personne qui est avec moi à ce moment là est obligée d'écouter ma blague. 
le truc encore moins bien, c'est que hors contexte, je me rappelle pas de mes blagues en stock. 
le truc qui remonte un peu le niveau, c'est que je fais rire à mes dépens, des fois. 
au hasard, aujourd'hui.
je savais par expérience, ou parce que desfois je crois les gens sur parole (maintenant. ça s'appelle la maturité ) qu'il ne faut pas se toucher les yeux après avoir touché de l'ail, du piment, ou du baume du tigre.
breaking news: le wasabi ça pique aussi.
ne le faites pas chez vous les enfants. 

ingrédients (+/- 5)

- 500ml de lait d'amande
- une cuillère à café d'arôme d'amande amère
- 2g d'agar- agar
- sucre en poudre
- chocolat noir

préparation

rincer la casserole à l'eau froide, égoutter très sommairement; ça évitera au lait d'accrocher et de galérer au moment de la vaisselle.

verser dedans le lait d'amande, l'arôme d'amande amère et du sucre. bien mélanger pour dissoudre le sucre. je laisse la quantité de sucre à votre appréciation.

ajouter ensuite l'agar-agar, bien mélanger.

porter le tout à ébullition.

verser dans des ramequins (le nombre de panna cotta dépendra de la taille des ramequins of course) et laisser refroidir d'abord à température ambiante, puis au fridge.

plus tard, faire fondre doucement le chocolat dans une petite casserole, et verser une fine couche à la surface de chaque panna cotta. égaliser la surface, laisser refroidir puis conserver au fridge jusqu'au moment de servir.

easy, non? 

elles sont pas mimi? je leur ai pas encore donné de nom... vous avez des suggestions? 

et un peu de musique pour finir?
ça fait longtemps:

►♫♫♪♫♪ Linkin Park ♥ - Iridescent 

si si, il y a bien un gâteau sous cette montagne de fruits!
le gâteau est il un prétexte pour manger des fruits ou les fruits sont-ils là pour légitimer le gâteau? 

je vous laisse choisir!

- 500g de fromage blanc (pour ma part j'ai préalablement égoutté 1 pot de yaourt nature alpro)
- 1 tasse de framboises (fraîches ou surgelées)
- 100g de sucre en poudre
- 80g de farine 
- 50g de fécule (allez- y tranquille sur la fécule, vaut mieux pas assez que trop)
- le jus d'un demi citron, ou alors du sucre vanillé.
- 1 sachet de levure chimik
- des fruiiiiiiiiiiiiiiits! 🍒🍓🍇 (on se calme)  (ou pas) 

ça va aller assez vite, alors préchauffer le four à 180°C dès maintenant.

mélanger ensemble (et dans une jatte, accessoirement) farine, fécule, sucre et  levure.

ajoutez ensuite le fromage blanc et battre avec le fouet.
ne pas oublier d'ajouter le jus de citron ou le sucre vanillé pour parfumer la pâte.

en dernier, ajouter les framboises et mélanger délicatement.

graisser généreusement le moule, verser la pâte dedans, et enfourner 40 à 45mn.

on peut poser une feuille d'aluminium dessus en fin de cuisson pour ne pas que la surface dore trop (mais bon si vous recouvrez de fruits, en même temps... who cares? )

attendre le complet refroidissement, puis décorer avec des fruits, ou du coulis.
ou rien si vous êtes pas fun  (je vous aime quand même )

pour faire genre, mais sans sortir tout le barda!
faire genre, c'est super important non? (attention, question piège!   )

tout est customisable en fonction de ce que vous avez et ce qui vous fait envie (sauf de la viande ), allez-y amusez-vous! 

ingrédients

- du tofu frais (ou une autre protéine végétale de votre choix)
- des petits légumes: champignons, poivrons; cubes de courgette, d'aubergine, tomates cerise... c'est bien aussi!
- des crudités colorées: oignon, maïs, poivron, tomate, betterave, concombre
- vinaigrette sympa: huile d'olive, balsamique à la fraise
- persil frais (ou autre herbe que vous aimez bien)
- épices et herbes au choix: par exemple parprika fumé + curcuma + ail semoule + thym + cumin
- huile de coco pour la cuisson 

préparation

laver et parer les légumes, ça c'est fait!

faire chauffer l'huile de coco   dans la poele, puis y faire revenir légèrement les herbes et les épices.

monter les mini brochettes. les saisir à feu moyen-vif sur toutes les faces.

pendant ce temps, dresser les crudités, assaisonner, persiller.
quand les brochettes sont prêtes, déposer dans les assiettes, et servir immédiatement.

péché véniel, certes mais... on frôle le mortel quand même.
parce que j'ai récidivé le lendemain (il fallait bien finir le fromage!!!!   )

alors voyons les règles enfreintes:

- paresse? non, c'est fait maison et non livré par un esclave moderne
- avarice? 50/50, y a des ingrédients un peu chers (le fromage) et des généreusement offerts (la tomate, l'oignon, la betterave... merci Germaine)
- colère? non, et ce, même quand à la fin il en restait plus
- envie? oui... ça m'a un peu obsédée dès le moment où je l'ai conçu dans ma tête, jeleveux-jeleveux-jeleveux-OMG-OMG-OMG
- orgueil? chuis pas peu fière de moi! (dans ce cas particulier, mais aussi en général, mais je suis Lion 🦁, c'est pas ma faute)
- gourmandise? faut-il argumenter?? goinfrerie, même!
- luxure? carrément... cette recette est pornoculinaire!

bilan, 4/7, ça mérite pas de brûler en enfer hein?

pénitence: réciter un navet et deux pâtés  manger de la salade de fruits pour se racheter!

ingrédients

- un petit pain à burger (j'en ai trouvé des sans huile de palme, c'est d'ailleurs ça qui m'a fait en acheter . si vous avez envie de pétrir vous même, y a une recette très sympa chez RoseCitron)
- un steak végé de votre choix. ça court les rayons maintenant! si vous êtes aussi d'humeur "je fais tout moi même et gnagnagna" (non je rigole, c'est très bien!) je peux vous proposer quelques recettes: steak de champignons, steak de haricots, galette de pois chiches, Ez burger, blondie burger, green burger...
bon, moi j'ai pris un steak de soja tout prêt hihihi, sojasun pour ne pas le nommer. mais quand même, j'ai l'extrême obligeance dele faire cuire à la vapeur, comme ça, beh il est super bon et moelleux et ... parfait. un jour je trouverai du Beyond Meat je le jure (exclu casino mes fesses) mais ce jour n'est pas arrivé, en attendant je vais au Tommy's. bon, qu'est ce que je disais?  
- des légumes frais: tomate, salade, betterave et carotte râpées, oignon nouveau (ou tout ce qui vous fait plaisir d'autre!)
- une sauce sympa; moi? moutarde à la bière (genre spéciale promo avé la choucroute l'an dernier) tant qu'on y est, je vous balance une petite recette de sauce BBQ maison? je sens que vous êtes au taquet là! 
- et du fromage vegan... qui fond... décadent, indécent, dégoulinant de tentation, de luxure et de provocation (j'ai nommé Vegeese Tartex... mais chacun ses faiblesses, vous avez peut être votre serpent tentateur fromager à vous)
- du St Hub, discret mais indispensable dans cette recette

préparation

dans un premier temps, préparer tous les légumes frais que vous mettrez dedans, comme ça, c'est prêt.

si besoin, faire précuire votre végésteak. comme je vous disais, je fais cuire mes steaks sojasun à la vapeur et ça change tout!! 

dans une poele, faire fondre un peu de St Hub, et y faire dorer la face interne des pains à burger?

dans une autre poele, faire dorer votre végésteak dans un peu de St Hub too, et les recouvrir d'une (ou deux si vous voulez aller plus vite en enfer) tranche de fromage vegan-mais-qui-fond.

quand votre pain est bien doré, le sortir de la poele et l'enduire de moutarde à la bière (ou autre sauce de votre choix); déposer la salade et une tranche de tomate sur le pain du dessous.

quand votre fromage est fondu à se damner, déposer délicatement le steak coiffé de son fromage (il porte un coiffut!) sur la salade.

déposer par dessus les autres légumes. (certains préféreront peut être mettre tous les légumes sous le steak. je n'y vois pas d'inconvénient XD)

beh voilà c'est prêt! enfer et damnation!

pour sauver votre âme, un peu de salade de fruit?  🍉🍓🍑🍈 (pas de pomme dedans, ce n'est pas un piège)

du temps de nos ancêtres, début août, on fêtait le début de l'automne, oui oui... la lumière baisse, les jours raccourcissent (et oui! on est dans la partie sombre l'année depuis le 21 juin! ), on engrange les récoltes, le grain devient de la farine, le gros du travail des champs est passé.

la tradition saisonnière célèbre l'artisanat, la force physique, l'effort. on organisait des épreuves de force, des luttes (histoire d'avoir encore plus chaud j'imagine... )

quelques lectures au sujet de cette célébration païenne m'ont permis de prendre conscience comme notre vie de tous les jours est facile.
quand on veut du pain, on va à la boulangerie et le tour est joué. quand on n'en a plus, on retourne à la boulangerie, et voilà!

avant, quand on voulait du pain, on devait le faire soi même. et le garder soigneusement sans le jeter.
et en refaire quand on n'en avait plus.
et s'en passer quand il n'y avait plus de farine.

les journées se passaient à cultiver de la nourriture, puis préparer de la nourriture. l'acte de se nourrir avait alors une portée symbolique bien plus importante qu'aujourd'hui, où on ouvre une boîte de conserve et bam, au micro ondes, quand on ne se fait pas livrer de la nourriture faite par quelqu'un d'autre et apportée par quelqu'un d'autre, parce qu'on a la flemme, ou pas le temps.

sans vouloir retourner au XVIIIe siècle où chaque journée de travail équivalait à une de nos semaines actuelles, où tout le monde travaillait pour la survie de la communauté, les enfants, les femmes enceintes, les vieux...
ne sommes nous pas aujourd'hui trop déconnectés? d'une vie simple proche de la nature, du rythme des saisons, de la joie de manger des fraises ou des tomates chaque année à la pleine saison, au lieu de n'importe quel jour parce qu'elles ont grandi sous des néons, dans des serres en plastique chauffées.

n'oublie-ton pas trop vite que la planète nous nourrit, porte nos fruits, nos céréales et nos légumes, que les animaux meurent pour notre bon vouloir de manger du steak ou du jambon, on claque des doigts, on paye, on prend, puis on jette, on pollue, et... quand est ce qu'on remercie?

avec Germaine, nous avons donc pris le temps de le réflexion et de la reconnaissance, envers ce qui pousse, et aussi ceux qui cultivent la terre avec amour et respect!

puis nous avons partagé un repas avec des aliments très simples, à l'ancienne.

dans le désordre:

- tapenade verte
- olives vertes et violettes
- guacamole avocat + coriandre + poivrons + citron
- pain complet allemand Vollkornbrot 
- épis de maïs (que j'ai oublié de photographier cuits: grillés au four avec ail semoule, paprika fumé et thym)
- fruits frais: nectarines et mirabelles
- infusion souci -lavande - tilleul

fais coucou Sophie la sorcière! gardienne du maïs! 

♪♫♪♫►The Earth is our mother 

also known as tabouleh. 

ça aussi c'est une redite, un grand classique estival, mais je trouve qu'il y a bien plus de vert que la précédente version (qui commence à dater... moi je sais où elle est, mais il faut remonter plusieurs centaines de pages, et ouais , pour la retrouver)

d'ailleurs je l'ai faite pour un pote cette recette, et comme beaucoup de gens, il n'a pas reconnu le tabouleh... l'immense majorité croit que le tabouleh, c'est de la semoule de couscous, des raisins, de la menthe... mais non! 

c'est un peu de boulghour et beaucoup de persil, plus de la tomate et du citron pour humecter!

ingrédients

-1/2 verre de boulghour cru
- un demi bouquet de persil (a minima)
- 2 tomates mûres
- 1 citron

préparation

verser le boulghour au fond du plat.

hacher les tomates en très petits dés, et surtout bien conserver le jus et les pépins.
verser dans le plat.

ajouter le jus du citron.

laver le persil, égoutter sommairement, et découper au dessus du plat.
mélanger, réserver 2-3h au fridge.

c'est prêt! (et c'est bô)

tiens, on dirait qu'un dragon est passé par là, non? ^^

j'ai déjà publié cette recette il y a plusieurs années, avec moins d'ail et une sauce à la menthe (non ce n'est pas une recette anglaise)
avec plus d'ail, c'est plus bon, et aussi c'est plus joli.

comme dirait ma copine Victoria de Transylvanie🧛‍♀️, ail ail ail! 🧄🧄🧄 

ingrédients

- 1 aubergine par personne 
- de l'ail (plein)
- de l'huile d'olive
- sel poivre

préparation

préchauffer le four à 180°.

peler toutes les gousses d'ail puis les couper d'abord en deux.

laver les aubergines, les couper aussi en deux dans la longueur, puis les frotter avec les gousses d'ail.
couper ensuite finement les gousses d'ail en tranches.

inciser les aubergines à intervalles réguliers sur une petite largeur, puis y mettre les tranches d'ail.

arroser d'un léger filet d'huile d'olive, l'étaler avec le dos d'une cuillère à soupe, saler poivrer légèrement, et enfourner 40 à 50 mn environ.
le dessus doit être bien doré à la sortie.

vous pouvez agrémenter d'herbes (origan, thym ou menthe) ou accompagner d'une salade verte fraîche, ou pourquoi pas d'épis de maïs grillés! 🌽🍆🌽🍆

j'ai récemment cédé à la tentation du lait de cajou, genre à 4.50€ le litre.
pourquoi, je me le demande encore 
j'ai été assez déçue, ça n'a pas goût à grand chose actually. la texture est un peu grasse comme j'aime, mais euh, c'est tout...
c'est bien nutritionnellement, c'est indiscutable, mais autant manger des noix de cajou...

après en avoir bu une grande tasse, avec un peu de sirop d'agave, sans grande conviction, j'ai regardé ce que l'emballage conseillait de faire avec (à part d'en boire "à tout moment de la journée" bien sûr...)
ben là, c'était du pain perdu cajou-banane.

bien prévisiblement (vous commencez à me connaître), j'ai toujours eu beaucoup de mépris envers les recettes et suggestions des marques agroalimentaires pour utiliser leurs produits 
comme si on avait besoin d'indications pour comprendre qu'on peut utiliser des crevettes à l'apéritif, ou en salade.
comme si on avait besoin de repère pour savoir qu'on peut boire du jus d'orange le matin, ou pour le goûter des enfants.
comme si on avait besoin d'exemple de "collation équilibrée" genre 1 verre de lait + un fruit + 2 biscuits industriels (quelle connerie d'un point de vue équilibre alimentaire d'ailleurs)

à quel moment on nous laisse réfléchir?
à quel moment on nous demande pas de "suivre" des conseils, des recommandations, des sites internet?
à quel moment on a le droit d'utiliser notre libre-arbitre?

voilà la minute rabat-joite est terminée 

mais encore une chose: on sent pas non plus le cajou dans le pain perdu... donc si vous avez du lait d'autre chose sous la main (soja ou avoine, notamment) ça le fera aussi. n'en achetez surtout pas exprès pour ça. en plus il m'en reste encore, j'essaierai dans le thé pour voir (là j'ai pas eu la foi... du bon thé à la vanille, si ça me le ruine...)
par contre le pain perdu à la banane et à la vanille, ça le fait! 🍌

ingrédients

- 175ml de lait de cajou ou un autre!(j'ai fait au visu, en fait)
- 1 banane bien mûre
- vanille en poudre
- du pain rassis ofc!

préparation

mixer la banane avé le lait de cajou et la vanille.

laisser tremper le pain dedans, dans un grand plat creux. penser à le retourner une fois ou deux pour tout bien absorber.

mettre un peu de margarine au fond d'une poele (du St Hub par exemple) et y faire dorer le pain à feu vif  sur les deux faces.

saupoudrer d'un peu de sucre vanillé avant de servir.