parfait pour accompagner une tasse de thé et un peu de lecture.

comme d'habitude, j'ai pris la très bonne recette du brownie vegan de Jamie Oliver , et je l'ai agrémenté de framboises à la place des traditionnelles noix.

ingrédients

- 5 cuillères à soupe d'huile de tournesol (j'ai mis de l'huile de pépins de raisin, et un peu moins cômême)
- 200g de chocolat noir
- 170g de farine +1/2 cuillère à café de levure chimik
- 3 cuillères à café bombées de cacao amer en poudre
- 180g de sucre roux en poudre
- un peu de sel
- 230ml de lait de soja
- des framboises surgelées

préparation

sortir les framboises pour les décongeler (je les mets dans une petite passoire, pour ma part)

faire fondre le chocolat dans une casserole, à feu très doux.

pendant ce temps, tamiser la farine, la levure et le cacao dans un saladier, ajouter le sucre et le sel, et mélanger.

rajouter l'huile, mélanger, puis le lait de soja, mélanger, et enfin le chocolat fondu, jusqu'à obtention d'une texture homogène.

préchauffer le four à 180° et beurrer avec de la margarine ^^ un moule carré ou rectangulaire.

verser la préparation dans le moule, et la répartir de façon égale.
rajouter les framboises entières sur le dessus les enfoncer légèrement .
enfourner de 20 à 25mn, le dessus doit être cuit, mais le dedans un peu collant.

pour la finition, j'ai remis des framboises par dessus et un peu de sucre glace.

attrapez votre meilleur livre, préparez votre thé préféré et gâtez-vous! 

je mange pas souvent de lentilles vertes. c'est trop marron.

mon collègue Kévin, il en mange tout le temps. presque tous les midi, sa gamelle c'est des lentilles, avec de la saucisse les jours fastes.
je lui ai fait goûter les lentilles corail, il aime bien!

et sa "passion" des lentilles (enfin bon, c'est aussi une question de budget) a un peu déteint sur moi, j'ai acheté des lentilles en boîte lol.

donc aujourd'hui, je vous propose un plat très marron (mais on va mettre un peu de couleur) mais vraiment excellent.
et rempli de vitamine C et de fer!! (je vous fais pas un dessin, c'est pas superflu ces temps-ci)

ingrédients (1)

- 1 petite boite de lentilles (vérifier qu'elles ne contiennent pas d'arôme de viande)
- 5 ou 6 champignons de Paris (ou autre variété)
- citron
- persil et coriandre
- St Hub ou autre margarine végétale (chuis pas sectaire)
- ail semoule, gingembre, curcuma, clou de girofle, piment en poudre

préparation

faire le vaghaar: faire chauffer à feu doux dans une petite poele le St Hub (1 belle cuillère à soupe bien généreuse) et ajouter toutes les épices.

pendant ce temps, laver/peler et trancher les champignons, et égoutter les lentilles.

mettre les champignons dans la poele et les faire dorer sur toutes leurs faces.
quand ils sont bien tendres, verser dans un petit bol, couvrir et réserver.

refaire le vaghaar dans la même poele, puis verser les lentilles.
faire chauffer à feu moyen-vif.

c'est prêt!

verser les lentilles dans une assiette ou un bol, dresser les champignons dessus, arroser du jus d'un demi citron, parsemer généreusement de coriandre et de persil, pimenter un peu, et servir! 

alors? ça fait envie en fin de compte, non? 

j'aime tellement la quiétude du jour qui tombe, les choses (et les gens! thank God) qui s'endorment, pour que commencent une autre vie, un autre cycle, un autre monde...
un peu de silence et de recueillement (me) font tellement de bien... 

récemment, j'ai réussi à convaincre un copain qui, je cite, "n'est pas très légumes" de faire des efforts sur ses achats (oui parce que les pâtes, les danettes et les pizza surgelées, en temps normal  déjà ça le fait pas, mais alors en ce moment c'est surtout pas ce qu'il faut manger, si on ne veut pas s'empâter ni baisser ses défenses immunitaires...)
alors je lui ai fait reposer des tomates oranges et des courgettes espagnoles, et je lui ai fait prendre... un chou-fleur (bio et tout!!!)
je sais pas comment, lol, parce que le chou-fleur, ça fait pas rêver grand monde, et en plus, j'ai pas été très gentille, je lui ai dit qu'il était "nul en légumes"
mais... il l'a pris  
bon, OK il en a fait un gratin au fromage râpé... mais bon, pour lui c'est déjà un exploit!

et donc moi aussi j'ai acheté un chou-fleur. 
et j'ai pensé à ça 🤤
mais... ce n'est pas très diététique (mais je le garde pour plus tard hein )

ingrédients

- 1 joli chou fleur
- du piment type tabasco (Ephée a mis de la sriracha, pour info)
- 2 cuillères à soupe de levure de bière/maltée
- du sel (viking pour ma part)
- 1 cuillère à soupe d'huile d'olive
- 1 cuillère à soupe de miso
- 1 cuillère à café d'ail semoule
- paprika fumé
- 1 cuillère à soupe de sirop d'érable (OK j'en ai mis plus )

+ sésame, piment et coriandre pour la finition

préparation

on fait cuire le chou fleur (débarrassé de ses feuilles et lavé) , c'est à dire blanchi quelques minutes à la casserole.
ensuite on allumera le four à 180°.

pendant que ça blanchit, on mélange les épices des fées d'Ephée; ça fait une pâte ...ok, marron... qu'on étale au pinceau sur le chou fleur.
on met ça dans un plat allant au four, et on enfourne 20mn à peu près!

ça va rendre un peu de jus à la cuisson; pour ma part je l'ai réutilisé pour arroser le chou fleur avant de le servir, parsemé de graines de sésame, de coriandre ciselée et d'un peu de piment d'Espelette.

alors, évidemment, c'est très très bon! 
j'avais déjà testé cet assaisonnement sur des pommes de terre,  je vous recommande vivement d'essayer! 

j'ai gardé les feuilles du chou fleur pour faire de la soupe

et j'ai servi avec une salade d'herbes.
on voit pas trop, mais en plus de la laitue, des radis, et de la roquette il y a du persil, de la ciboulette, du pissenlit et de l'oseille! 

MANGEZ DES LEGUMES!!!
PLEIN!!! 
PLEIN PLEIN PLEIN!!!   

aujourd'hui.... attention suspense ... des pâtes!!! (ah mais non vous avez déjà lu le titre et zyeuté la photo, à ce stade...)
c'est pour pas vous inonder de recettes de petit déjeuner, parce qu'il y en a encore une qui arrive. c'est pas ma faute si je suis trop créative et que après j'ai envie de vous donner la recette!!

bon, des pâtes, donc.
c'est la mode les pâtes, tout le monde en a en ce moment.  la preuve, même moi et pourtant je ne suis pas les tendances.
vous avez bien ça quelque part, vous aussi? (mais siiii, cherchez bien, sous le PQ peut être? )

alors j'ai fait cuire des pâtes (même en quarantaine, pas de laisser-aller,  pas de coquillette hein! ) comme je les aime, donc pas al dente, (tout ça pour dire, bah faites les comme vous aimez, osef les indications du paquet... vous faites toujours tout ce qu'on vous dit, vous?) et puis en parallèle, j'ai haché deux gousses d'ail; j'en ai mis une dans une poele avec du St Hub, un peu de persil frais, puis j'ai haché des champignons de Paris et je les ai ajoutés dedans.

ensuite, j'ai fait cuire à feu moyen-vif, et quand ils ont eu une bonne tête, j'ai ajouté de la crème, du sel et du piment.

j'ai égoutté mes pâtes et laissé finir de cuire (cette tournure me semble bizarre... ) les champignons, puis j'ai dressé l'assiette: pâtes + crème + champignons + recrème + seconde gousse d'ail + persil frais + sel + piment.

ta-da! 

vous prendrez bien un peu de William et de Samouraï avec ça?

cet après-midi, j'ai eu droit à un cours de guitare électrique  et un gâteau au citron 
c'est cool de se laisser gâter, aussi.

toute cette sollicitude m'a ramolli le cerveau, et je n'ai rien de pétillant à vous raconter aujourd'hui, ça vous fera des vacances (de Pâques!)

d'ailleurs je trouve ce gâteau très pascal! 

ingrédients

- 2 compotes de pomme nature (100g chaque)
- 1 yaourt nature (soja toujours)
- 2 pots de sucre roux
- 3 pots de farine
- 1/2 pot d'huile
- 1/2 sachet de levure chimik
- 1 citron bio 

préparation

vider les compotes dans un saladier.
ajouter le yaourt, mélanger, et garder le pot pour doser le reste des ingrédients.

verser le sucre, 1 pincée de sel éventuellement et fouetter soigneusement.

ajouter la farine et la levure tamisées, fouetter.

verser l’huile, en mélangeant doucement.

zester le citron, puis le presser.
verser le jus et mettre les zestes dans la pâte obtenue. (vous pouvez en garder un peu pour la finition)

préchauffer le four à 180 °.

verser la pâte dans un moule à cake ou à manqué antiadhésif, ou préalablement graissé.

enfourner 30 à 35 mn environ. c'est prêt quand il est craquelé et doré!

laisser refroidir et démouler, faire une jolie décoration, et servir!

avec un thé, bien entendu! 

 
ce qui est bien avec un gâteau, c'est que ça fait plusieurs tea-parties! 

sitôt posté, sitôt dupliqué! 
voilà celui de Résé 
ton moule fait un super rendu!!! 

pour ma part, je ne m'en lasse pas!
on peut les faire en yaourtière directement pour les avoir tout prêts, ou les confectionner un peu à l'avance, le temps que les graines et fruits se réhydratent.

je ne vous vante plus les mérites des graines et des fruits secs, c'est indispensable d'en manger pour faire le plein de bonnes graisses, de vitamines et des précieux oligo-éléments dont les carences sont souvent sous-estimées, voire oubliées! 

en bas: 
- dattes, figues et abricots secs coupés en petits morceaux

au milieu: 
- yaourt de soja nature (fait maison)

en haut:
- muesli (Jordans supreme  pour ma part, j'aime cette marque, elle est anglaise et elle laisse une part de ses terres non cultivées pour accueillir la faune et la flore locale )
- sirop d'érable 

un peu de printemps à partager! ♥♥♥

oui, désolée, mais "à la margarine" c'est pas très vendeur.

malgré tout le profond respect que j'ai pour la margarine, beh déjà "croissant à la margarine" ça me fait pas rêver ("au tournesol" encore moins...) mais alors là c'était juste pas possible.

bon, OK, on s'en fout de ma vie
si au lieu d'explorer la sémantique culinaire je vous parlais un peu de l'ail noir? 

j'en parlais dans les commentaires d'hier avec Résé, mais ce n'est pas quelque chose de très connu, ni de très facile à trouver, ni de très bon marché, d'ailleurs.
mais ça vaut le coup (et le coût) d'essayer de s'en procurer.

qu'est ce que c'est que l'ail noir? 
et bien, c'est de l'ail normal-blanc, comme dit Coluche , mais qui est resté au chaud et à l'humidité pendant un loooong moment.
il serait né d'une mauvaise conservation (au Japon je crois) et au lieu de jeter sa récolte, l'infortuné récoltant a eu la curiosité de goûter, et surprise! ben c'est très bon!!! 
le goût et la texture n'ont plus rien à voir avec l'ail blanc. certains disent que ça a un goût de réglisse ou de vinaigre balsamique, moi je trouve que ça ressemble un peu au pruneau, avec une texture fondante.

pourquoi c'est mieux, l'ail noir?
l'ail noir possède deux fois plus d'antioxydants que l'ail blanc, et a une bien meilleure biodisponibilité que l'ail classique: l'organisme l'assimile à hauteur de 98%. en outre, il contient des vitamines du groupe C et E, des polyphénols, des flavonoïdes, c'est un super-héros quoi!

où en trouver?
en ligne, bien sûr, je présume. il y a un producteur en Auvergne  (un truc du genre l'ail de bosom, mais c'est pas ça , lol, vous chercherez)
avant ça, regardez dans votre magasin bio!! moi c'est là que je l'ai trouvé, trop contente:  6.35€ les 2 têtes, ok c'est pas donné mais c'est pas la ruine non plus quoi. j'ai vu des prix en ligne bien plus élevés et en plus faut les faire livrer. chaque fois que j'y vais, j'en prends.

comment ça s'utilise?
je sais pas! lol 
vous êtes bien avancé/es, je sais.
évidemment on va éviter de le faire cuire, pour pas perdre ses merveilleuses propriétés. moi basiquement, je le coupe en petits morceaux et j'en parsème parcimonieusement  ma soupe, avec une pointe de crème par-ci par-là.
là, je l'ai amalgamé à du "beurre" et je l'ai mis sur mes choux tout chauds. (oui je fais dans la paronomase et l'allitération, ce soir)
c'est tellement bon et raffiné!!
faut voir ça comme de la truffe, on en met un tout petit peu pour sublimer un plat.
et c'est quand même hyper moins cher que la truffe!!

j'ai donc fait blanchir mes choux de Bruxelles dans du bouillon, puis je les ai égouttés et coupés en deux, et assaisonnés de fleur de sel et St Hub amalgamé de deux gousses d'ail noir.

servir immédiatement. enjoy.
la prochaine fois, j'essaie dans de la purée maison.
dites moi si vous arrivez à vous en procurer?

j'ai toujours trouvé que le flageolet n'était pas un aliment noble.
exactement comme les petits pois en boîte.

déjà, rien que le nom n'a rien de vendeur, et j'ai presque peine à l'écrire ici (si si, je vous jure! je suis un peu snob je vous rappelle, et très Lion accessoirement), ça ne fait partie d'aucune "grande recette", c'est l'aliment de la flemme et de la facilité.
j'en mange, pourtant, mais je ne le dis pas.

bon, ben là, je vous le dis.
pourquoi? je ne sais pas...
sans doute parce que j'avais envie de vous encourager à manger de l'ail, ce mal-aimé. 🧄🧄🧄
si vous n'êtes pas d'ascendance transylvanienne,  veillez à en consommer fréquemment car il améliore la circulation sanguine, abaisse la tension artérielle, renforce les défenses immunitaires, fortifie le cœur, protège des infections, il soigne l’asthme et les maladies de la peau.

c'est donc un alli(ac)é de taille  pour lutter contre des problèmes sanitaires d'actualité.

pour profiter de ses bienfaits, je vous propose de le préparer pour cette recette pas très cuit + cru.

ingrédients (2)

- 1 boîte de flageolets si possible extra fins, mais bon, osef en fait
- 2 gousses d'ail, voire 3 pour les plus téméraires
- un petit bouquet de persil (5-6 brins quoi)
- St Hubert végétal ou autre margarine, mais végétale, merci
- sel et piment

préparation

hacher l'ail et le persil (séparément).

faire fondre à feu très doux une cuillère à soupe de St Hub dans une casserole.
y ajouter la moitié de l'ail, laisser dorer quelques instants, ajouter la moitié du persil, laisser cuire ensemble quelques minutes, puis ajouter les flageolets et leur jus et remuer.

augmenter un peu la flamme pour que ça chauffe vite, mais pas trop quand même.

quand c'est prêt, servir dans une belle assiette, comme ça, ça les rehausse un peu, et parsemer du reste de persil et d'ail frais. 
mélanger, saler, pimenter, c'est prêt!

et oui, je sais, c'est pas bien de lire en mangeant, mais ça a toujours été un grand luxe pour moi.
et comme j'ai achevé, sans regret, la pauvre Emma Bovary, je retourne avec délectation dans les bras de la belle Manon, qui me conduira logiquement à la suite dans ceux de Marguerite Gautier.

j'ai trouvé cette jolie recette toute printanière chez Angie, je l'ai reprise quasi à l'identique si ce n'est que j'ai utilisé du lait et de la crème de soja à la place de l'amande.

ingrédients (6)

- 150 g d'asperges vertes fraîches (ou surgelées!)
- 1 briquette de crème de soja
- 20cl de lait de soja non sucré
- 2g d'agar-agar (Angie elle met 3g mais mon sachet il fait 2)
- un peu de bouillon de légumes
- sel et piment

préparation

laver les asperges (si besoin) et éventuellement couper les tiges trop épaisses, puis les cuire pendant 12-15 minutes à la vapeur (moi j'ai fait blanchir)

mélanger la crème, la poudre d'agar agar et le lait ensemble. 

garder quelques pointes d'asperges pour la décoration.

note pour plus tard: laisser les pointes d'asperges hors de portée de chat! (ils ont eu l'amabilité de m'en laisser deux quand même, qui paradent insolemment sur la photo)

mixer les asperges cuites avec un peu de bouillon de légumes, puis ajouter le lait et la crème et mixer à nouveau.

verser le tout dans une casserole et porter à ébullition 30 secondes, si nécessaire, rectifier l'assaisonnement.

verser la préparation dans les verrines, laisser refroidir puis placer au frais 1 heure minimum avant de servir. 

bon appétit et merci Angie! 

hier soir je me suis endormie sur mon canapé avé des chats partout évidemment, mais aussi la musique et la lumière allumée...
quand quelques heures plus tard, j'ai émergé comme une grosse chose molle échouée, je me suis levée pour éteindre la lumière et à l'horizon, j'ai eu la très belle surprise de pouvoir admirer ça: 

je sais pas si les Italiens se sont jetés sur la polenta dans les magasins, mais les Français non.
la polenta c'est cool, Angelo Pardi et Pauline de Théus en ont beaucoup mangé durant la quarantaine, et ils buvaient du thé aussi! (je vous recommande de varier un poil plus que ça votre alimentation, mais ça peut être une base à exploiter!)

c'est marrant d'ailleurs cette amitié franco-italienne face à la contagion et la quarantaine! (on dirait moi et moi ami florentin, bon, sauf que nous, fait équipe sur les Champs de Justice au lieu de traverser les contrées à cheval)

si vous ne comprenez pas de quoi je vous parle (mais keskeldiiiiiii ) venez voir par ici

revenons à notre polenta.
j'en ai fait un grand plat, parce que j'aime bien avoir du stock de prêt-à-manger  dans mon fridge,  j'en prends un peu et je teste des trucs avec.
aujourd'hui, des frites. facile et bon!

il faut donc faire la polenta à l'avance hein!

ingrédients

- de la polenta (j'ai mis 2 verres pour faire un grand plat, mais ici j'ai utilisé que 1/3 de la totalité, alors je sais pas... faites-en et vous verrez bien, au pire y aura beaucoup de frites, qui va s'en plaindre? )
- 1 casserole d'eau (c'est pour 240g de polenta, vous ajusterez, déjà que c'est pas précis, mdr je suis une quiche vous pouvez le dire!! )
- 3 cuillères à soupe de coulis de tomate
- huile de coco
- paprika fumé, poivre du moulin, épices pour pommes de terre, sel...

préparation

alors faire bouillir de l'eau dans une casserole.
saler, et ajouter la polenta.
baisser le feu immédiatement, voire retirer du feu, et remuer.
la polenta ça saute partout comme du magma et ça brûle pareil (sortez le tube d'aloe vera, la biafine= poubelle!)

remuer fréquemment et énergiquement.
ajouter le coulis de tomate et l'assaissonnement de votre choix.
la replacer sur le feu, au minimum, ou sur la plaque éteinte, qui reste chaude encore un moment.

remuer et bien racler les bords de la casserole.
écraser les éventuels grumeaux à l'aide d'un presse purée ou d'une fourchette.

goûter en faisant très attention de pas se brûler, et rectifier l'assaissonnement si nécessaire.

verser précautionneusement la polenta dans un plat à gratin, égaliser la surface en secouant latéralement, ça se met en place tout seul izi.

laisser complètement refroidir, puis mettre au fridge.
quand c'est bien pris, c'est prêt à être transformé en frite! 

préchauffer le four à 200°

couper des bandes de polenta, les détailler en frites, et les déposer sur une plaque allant au four, préalablement recouverte de papier cuisson.
épicer généreusement. pourquoi pas mettre du thym aussi par exemple.
saler aussi.

répartir des petits morceaux d'huile de coco (qui à cette époque que l'année est généralement solide) un peu partout sur les frites, et enfourner 35 à 40mn.
deux fois durant la cuisson, retourner un peu les frites à l'aide d'une spatule.

c'est prêt quand elles sont dorées et crousillantes.
en attendant que ça finisse de cuire, préparez vous une belle salade ou une assiette de crudités pleine de vie et de vitamines.

si Wen passe par là, je t'en garde un cornet! 🍟

et toujours la délicieuse Nola qui ne veut pas que je travaille